Cette semaine, La Partouze Musicale vous propose de réaliser un fantasme typiquement masculin en partouzant en compagnie de deux femmes ! :-D
Mais, comme on commence à se connaître un peu, vous savez qu'on n'est pas sectaire(s) à La Partouze Musicale - voire carrément open - et nos charmantes lectrices tentées par un plan (à trois) exclusivement féminin sont bien entendu invitées à poursuivre leur lecture ;-)

Dimanche dernier j'ai reçu une lettre d'information (a.k.a. newsletter) de FIP que j'ai parcourue en diagonale, m'arrêtant notamment sur l'avant-dernier paragraphe : « Le tam-tam renversant de Chloé & Vassilena Serafimova : La productrice électronique et la percussionniste bulgare publient "Sequenza", un disque à quatre mains qui conjugue les genres comme une évidence. »
Et là, comme déjà écrit plus haut, étant donné qu'on n'est pas sectaire(s) à La Partouze Musicale - voire carrément open - je me suis écrié (intérieurement) : « Qu'est-ce que c'est encore que ces conneries ? Y en a vraiment qui ne savent plus quoi inventer pour se faire remarquer !... » et n'ai pas cherché à en savoir plus...

Hier après-midi, en baguenaudant tel(le) la Belle des Champs (c'est mon côté queer... et fan de Richard Gotainer !) dans les pâturages de mon site préféré de flux musicaux (a.k.a. streaming), je me suis vaguement rappelé de l'information ci-dessus, notamment parce que j'avais apprécié les disques réalisés par la marimbiste Vassilena Serafimova avec le pianiste Thomas Enhco. En deux coups de cuillère à pot j'ai donc trouvé le dernier disque de cette musicienne bulgare venue manger le pain des percussionnistes bien de chez nous et - un rien perplexe - ai lancé l'écoute de ce "Sequenza" commis avec la productrice de musique électronique Chloé Thévenin (a.k.a. DJ Chloé) et publié fin octobre sur son label Lumière Noire...

Oh putain, le con ! Oh la claque ! Ça m'a littéralement démonté la tête ! 8-O
Je ne m'en suis pas encore remis, je crois que je ne m'en remettrai pas...

Je finis en effet de rédiger ce billet depuis le service des urgences où m'a conduit la douloureuse crise de priapisme provoquée par mon écoute compulsive du morceau "Mare A Mare (Sequenza Version)" (au casque c'est carrément orgiaque !) mais tout l'album est à écouter (en boucle), un chef-d’œuvre, un pied d'enfer ! Je suis dans un état pire que celui provoqué par "Ineunte" de Mario Batkovic et, si ça persiste, je sens que cette fois je vais bien finir comme ce lauréat (1) (2) d'un Prix Darwin en 1988/1993 (3) !...
Quant à vous, bonne partouze ! :-D

P.S. Pour celles et ceux auxquels·les le son ne suffit pas et qui veulent aussi des images (les coquin(e)s !), je vous ai mis un lien vers une interprétation de ce morceau en novembre 2019 dans un hall désert de l'aéroport d'Orly (prémonitoire !). Si d'aventure quelqu'un sait comment s'appelle l'instrument composé de disques de métal dont Vassilena Serafimova use à la fin du morceau (avec un archet !), merci de bien vouloir éclairer ma lanterne ! ;-)

(1) Si vous ne lisez pas bien l'anglais, copiez-collez donc ce texte dans un traducteur automatique, il vaut son pesant de cacahuètes !... ;-)

(2) Ça ne fait qu'une journée en ce qui me concerne !... ;-)

(3) Les Prix Darwin ont été créés en 1993 mais des prix ont été attribués a posteriori, notamment à cette performance qui remonte à 1988... Sinon, oui, vous ne rêvez pas, j'ai bien intégralement réutilisé les notes de bas de page d'un précédent billet ! ;-)

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Chloe_et_Vassilena_Serafimova_-_Sequenza